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Apolonia W. A.-Werner
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Apolonia W. A.-Werner
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Ven 5 Juin - 21:29
Doucement. Il passe à travers. Akira se glisse dans la foule puis y échappe. Tous ces rires sont si bruyants. Si intensifs. Que faire; Akira est pris au piège. Il saute. Il pousse ceux qui se trouvent devant lui. Il court le plus vite possible. Derrière lui. L'impossible se produit. Pourtant jamais il n'a voulu ça. Il se prend des murs, des poubelles. Bien sûr qu'il fuit.

Un groupe le suit; d'autres lui courent après tels des guépards. Mais le bonhomme lui ne court pas aussi vite. Il tente de passer par la fenêtre des toilettes. En vain. Sa sac est pris puis arraché. Toutes ses affaires sont à terre. Son regard est furieux. Rapidement il se jette sur ses affaires et les ranges dans son cartable. Akira le tient fermement contre son torse. Les élèves assistent à tout. Mais ne disent rien. Peut-être qu'ils ont peurs.

La porte de sortie est si proche. Avec le peu d'énergie restante. Il se met à courir. Il lui reste à peine quelques mètres. Attention mon bonhomme .. Croche pied. Ses deux mains se collent contre son crâne. Une douleur légère se propage. Il relève la tête. La rage monte; mais la douleur aussi. Ses mains rouges se frottent contre sa joue. Son corps est sous le choc. Mais il peut encore fuir. L'un d'eux prend le col du jeune homme.

Quelques secondes passent.

Akira prend son courage à deux mains. Frappe sa tête contre la sienne puis donne un coup de pied à sa jambe. Le bonhomme tombe en arrière. Il en profite puis se précipite hors du l'établissement. Des hurlements se font entendre; il ne sait pas quoi faire. Il prend des rues au hasard. Puis s'y perd. Son dos se colle à un mur. Sa respiration s'agite. Ses mains tremblent. Le groupe le repère mais il est coincé. Il hurle de toutes ses forces.

Est-ce qu'une personne va l'aider; Akira n'a plus aucun espoir. Il veut juste rentrer à la maison. Il veut être libre. Ne plus trembler. Vivre comme un adolescent de son âge. Rapidement ils s'approchent. Son téléphone sonne. Peut-être est-ce un moyen pour s'enfuir ? D'un coup vif; le téléphone est à terre. Il tente de le récupérer. Il se fait éjecter plus loin. Il fronce les sourcils. Ils sont quatre personnes. Dans une petite rue; Akira est collé à un mur. Il a peur.

- Laissez-moi ! Je veux être en paix !
EL COLOR DE TUS OJOS
SON TAN GUAPOS
QUE MÍ CORAZÓN
SE VUELVE LOCO


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Ven 5 Juin - 21:37


Je sortais des cours et comme chaque jour, je prenais le même chemin pour retourner à mon appartement. Cette fois-ci, j’ai été forcée de faire un détour à cause des travaux qui se faisaient dans ma rue, j’ai vu un gamin courir dans la rue et quatre autres le rejoignant. Je ne me suis pas plus inquiétée que ça, j’ai été naïve, je me suis d’abord dit qu’ils devaient faire la course, c’est courant à cet âge. Et puis je l’ai entendu crier pour qu’on le laisse tranquille.
Mon cœur a loupé un battement en repensant à tout ce qu’on m’avait fait subir à l’école. Je me souviens encore du trajet que mes harceleurs me faisaient parcourir jusqu’aux toilettes pour me mettre le visage dans la cuvette. J’en garde un très mauvais souvenir, évidemment. Si je n’ai pas réussi à régler mes problèmes à cette époque, peut-être que je pourrais l’aider lui.
Ni une ni deux, je m’agrippe à mon sac à main en bandoulière et cours vers l’endroit d’où provenaient les voix. Je ne ferais sûrement pas le poids contre ces quatre garçons d’une quinzaine d’années, aussi, je m’arme d’un couvercle de poubelle. On ne sait pas ce qu’ils seraient tentés de faire si ma présence venait à les gêner. Je m’approche doucement avant de leur hurler dessus à mon tour.

— Foutez-moi le camp d’ici et arrêtez de l’embêter avant que je n’appelle la police !

Que diraient leurs parents s’ils apprenaient que leurs enfants étaient presque en train d’en agresser un autre. De nos jours, sûrement rien, ceux qui me rendaient la vie dure n’ont jamais eu à s’inquiéter de quoi que ce soit, car on n’écoute jamais les victimes et on ne s’occupe jamais des harceleurs, surtout à l’école.
Les quatre me regardent avec appréhension, mais sans avoir l’air de vouloir déguerpir. Je commence à sortir mon téléphone de mon sac et lorsqu’ils ont vu l’appareil, ils ont filé aussi vite qu’ils n’étaient arrivés. Je dépose le couvercle métallique par terre et attrape ce qui semble être le portable du jeune homme qui était à mes pieds. Je m’approche de lui, tentant de vérifier qu’il n’avait rien tout en lui tendant son bien.

— Tu vas bien ? Ils ne t’ont rien fait, j’espère…

Il ne m’a pas l’air d’avoir reçu de coup, mais ses affaires sont dans un piteux état. Il y a eu plus de peur que de mal, c’est déjà une bonne nouvelle. Je lui fais un petit sourire tendre.

— Tu veux que je te raccompagne ? Ils ne viendront pas t’embêter s’il y a une adulte avec toi, j’imagine. Moi, c’est Charline.

Je lui tends la main, s’il veut bien la prendre. Je n’ai jamais été très douée avec les adolescents, ça se voit, mais j’aimerais qu’il réussisse là où j’ai échoué, qu’il arrive à régler ces histoires, peu importe ce qu’elles sont.
feat. Akira Cavallieri ▲ dialogue thistle ▲ HRP
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Apolonia W. A.-Werner
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Ven 5 Juin - 21:42

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And we had to have music...

I mean you wouldn't want things to get dreary, would you ?

Elle déposa sur sa pile de dossiers ses lunettes aux montures résolument trop grandes. Elle se frotta les tempes, réfléchit quelques instants. Déjà vingt-et-une heure trente-deux, voilà plus de quinze heures qu’elle se trouvait dans son bureau. Plus de quinze, longues, interminables, stupides heures, à signer des papiers sans importances, à classifier des missions et à gérer les doléances insurmontables de ses subalternes. Elle avait organisé trois enquêtes, données une conférence télévisuelle sur une affaire de braquage et maintenant… Maintenant elle avait envie de se noyer dans l’alcool. Sidonia était chez une amie, une pyjama party - l’idée même lui fit grincer des dents. - Elle n’avait que quatre ans, depuis quand il était logique de laisser son enfant allez dormir chez des parfaits inconnus ? Pourtant, Nicole avait approuvé, et visiblement bien loin de comprendre ce qui se passait dans l’air du temps elle avait acquiescé docilement. Sa fille était contente, soit, et elle cela lui donnait une excuse pour ne pas rentrer trop tôt chez elle. Parcourir les rues était une grande passion, se tuer le cerveau dans un bar quelconque en était une autre. Les bonnes habitudes se perdaient de plus en plus, son paquet de cigarettes, non entamé, mais bel et bien présent, ne pouvait dire l’inverse. Travailler dans la police était, évidemment, moins strict que d’être une agente du FBI ou de la CIA. Les tests de drogues et d’alcoolémie moins présents, et après tout qui aurait osé une seule seconde lui dire quoi que ce soit ?

Huit mois et on l’a regardait encore comme un animal curieux et dont on n’était pas vraiment certain de son niveau de dangerosité. Les rumeurs allaient bon train, les commentaires graveleux aussi, bien qu’étrangement l’idée même qu’elle fut promise ici par un passage quelconque dans le lit d’un supérieur s’était rapidement estompé. On reconnaissait sa valeur, on ne l’appréciait pas pour autant. À dire vrai elle n’avait rien fait pour, distribuant des blâmes à tire-larigot, offrant une tolérance zéro à quiconque aurait envie de lui imposer ses envies grotesques à son encontre. Le premier était pour une main aux fesses qu’un stupide homme avait cru bon de pouvoir se permettre. Le dernier en date, par contre, était pour un détective qui avait osé l’insulter lors d’une perpétuelle tentative de dispute sur sa manière de gérer une enquête. Elle passait tantôt pour une incompétente, tantôt pour une insupportable garce au cœur de pierre. Qu’importe après tout, elle s’en fichait comme de l’an quarante.

Bien. Cela arriva rapidement à son cerveau alors qu’elle se levait de son fauteuil de bureau, elle devait sortir. Impossible pour elle de recevoir la pitié de sa belle-mère qui l’inviterait sans doute à dîner. Elle l’entendait déjà geindre de sa voix bien trop criarde : « Vous faites peur à voir, pensez-vous seulement à vous nourrir ? Arrêtez de travailler, vous avez largement de quoi vivre. Quand est-ce que vous avez seulement passé une heure avec votre fille ? » Tous les matins et tous les soirs à vrai dire. Elle s’était fait un point d’honneur, le reste n’avait qu’à couler seul, n’est-ce pas ? Elle soupira, se demandant bien pourquoi elle s’infligeait une dispute mentale avec cette sorcière alors qu’elle avait déjà bien à faire dans la réalité. Par exemple, pas plus tard qu’il y a deux jours, elle avait osé lui raconter, le sourire aux lèvres, comment une de leur voisine l’avait prise pour la mère de Sidonia. Elle s’était contentée de sourire poliment, l’envie de l’écharper elle et cette foutue voisine hurlant à tout rompre dans son crâne, avant de quitter la pièce sa fille dans ses bras. Pas besoin de ces perroquets pour lui rappeler qu’elle ne ressemblait en rien à cette enfant, et qu’elle mauvaise mère elle était. Tout cela, elle le savait déjà, et cela, bien avant la mort de Cléon.

Elle s’observa dans le miroir, remit en place sa robe jaune, passa ses talons aiguilles pourpres avant de rattacher son holster le long de sa taille. Elle fixa son insigne, ramena ses boucles blondes dans une queue-de-cheval haute et hésita à se remaquiller. Elle ressemblait encore à un cadavre, ses cernes encore plus apparentes que dans ses souvenirs. Se détournant, défaitiste, elle enfila son perfecto trop grand et éteignit les lumières et son ordinateur avant de passer la pièce. Ses clés étaient dans ses poches, ainsi que ses deux téléphones et son porte-monnaie. Bien, elle n’avait rien besoin de plus.

Elle offrit un petit sourire aux agents de nuits en partant et gagna le métro. Hors de question de prendre la voiture pour circuler en ville vers un quelconque bar. Elle avait besoin de s’abrutir, et vite, allez chercher la circulation ne ferait qu’aggraver son cas. Un quartier rapide, pas loin du commissariat, et déjà elle s’engouffrait dans les portes du bâtiment. Elle mourrait déjà de chaud, mais elle ne pouvait pas se permettre d’enlever sa veste et démontrer à l’intégralité de la population locale qu’elle était policière.

Elle commanda un verre, passa une main dans sa nuque et slaloma entre les tables pour rejoindre un canapé libre. Quelques hommes tentèrent de la draguer, elle déclina les propositions, ce n’était pas encore le moment. Elle s’installa, croisa ses jambes, avala cul-sec son verre se maudissant de n’avoir rien commandé de plus fort, et surtout en double. Pourtant, avant qu’elle ne réfléchisse seulement à l’idée de se lever de nouveau pour commander, des mouvements suspects attirèrent son attention. Ah oui, voilà pourquoi elle détestait sortir, il y avait toujours des vermines quelconques pour l’empêcher de se détendre. Sa voisine était retenue de force par un crétin patenté comme on en faisait trop, et lui lançait un regard emplit de domination maladive. Ah les hommes, n’est-ce pas ?

- Lâchez-moi, s’il-vous-plaît, j’aimerais partir…

Elle se releva, et dans un sourire glacial elle se planta devant le couple, ou qu’importe ce qu’il était. Elle le força à lâcher la jeune fille -n’était-elle pas trop jeune pour se trouver ici ?- et lui broya la main en retour jusqu’à ce que ses articulations deviennent bleus.

- Eh bien, on ne t’a jamais appris à te tenir en société ?

Il voulut répliquer, elle soupira et releva suffisamment son perfecto pour qu’il puisse apercevoir son arme et son insigne. Elle haussa un sourcil, attendant la moindre réaction de sa part. Elle ne vint pas, il se contentait de la dévisager se demandait visiblement s’il devait de battre ou non. Tout ce qu’elle avait envie actuellement n’était certaine pas arrêter un grouillot quelconque.

- Allez dégages maintenant.

Elle ne desserra pas sa poigne, le relevant de force. Une fois qu’il fut débout, elle s’approcha suffisamment de lui pour pouvoir sentir son souffle alcoolisé dans son cou.

- Je ne rigole pas, casse-toi avant que je broie tes minuscules couilles, susurra-t-elle d’une voix mielleuse.

Il ne demanda pas son reste, parti en maugréant d’insignifiantes insultes. Elle haussa les épaules de nouveau, se massa l’arrête du nez et reprit une contenance plus calme. Elle s’assit au côté de la jeune femme, fort heureusement ce bien triste spectacle n’avait accaparé l’attention d’aucune personne dans la foule.

- Vous allez bien ? demanda-t-elle plus par déformation professionnelle que par sympathie.
@"Charline E. Chenard" | Paroles : HotPink | ♥
Awful
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Ven 5 Juin - 22:02
nom prénom; Charline Elena Chenard
surnom; Line
âge; 20 ans.
groupe; Citizens.
situation; Célibataire.
orientation; Pansexuelle.
métier; Etudiante/Babysitter.

J'imagine tes lèvres grisées de rancoeur

C’est une mordue de lecture ; Son livre préféré est Au nom de la rose d’Umberto Eco ; Elle est poisson ; Elle a horreur de nager dans la mer ; mais adore rester sur la plage à écouter son bruit ; Elle est allergique aux poils de chiens ; Elle est gauchère ; Elle a loupé son permis deux fois et ne souhaite pas retenter à nouveau de le passer ; Elle croit en la bonté de chacun ; Mais elle n’a jamais pardonné à ses parents et les a mêmes bloqués de tout ce qui leur permettrai de la contacter ; Est souvent victime de coups de foudre ; Possède un tatouage sur la cheville gauche, en forme de croissant de Lune ; Elle s’est évanouie quand on lui a ensuite percer les oreilles ; Elle a toujours été plus ou moins une tête à l’école, même lorsqu’elle a repris ses études à New-York ; Elle déteste la nourriture épicée ; Elle est agoraphobe ; Elle ne fume pas, mais elle apprécie boire un verre de temps en temps ; Elle doit cependant passer par quelqu’un d’autre, ou espérer que le gérant lui laisse le bénéfice du doute, car elle n’est pas assez âgée ; Elle se laisse pousser les cheveux depuis ses 15 ans ; Ils sont assez longs pour qu’elle tente n’importe quelle coupe ; Elle porte parfois des lunettes de repos ; Parfois elle ose espérer qu'elle est coincée dans une comédie romantique, même s'il n'en est rien ; Elle n'a eu qu'une seule relation, et ils n'ont jamais dépassé le stade de se bécoter.
De n'avoir pu effleurer les miennes


Soutien → [0/1 ♀♂] Charline est une fleur fragile qui se fait souvent avoir par les autres dans ce monde. Tu serais là pour l'aider à travers tous ces obstacles, sûrement parce que vous avez une existence similaire.

Malotru → [0/3 ♀♂] Pour une raison ou une autre, tu n'aimes pas Charline et tu compte bien lui faire comprendre, que ce soit par la violence verbale ou physique (ne tuez pas mon bébé D8).


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Mado V. Palmer
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test codages Wink-oitnb
onyx : 32
Occupation : tatoueuse
Faceclaim : yana ; demonslayer
Upgrades & Inventaire : idk
Mado V. Palmer
@TinyMoon



Lun 7 Fév - 16:54
blbl
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