Mado TL V3 |
Mado V. Palmer @TinyMoon Mar 29 Nov - 22:41 @3rd3y3s identité Nom: palmer Prénom: madlyn venus Âge: 28 ans Date de naissance: 26/12/2019 Origine(s): australienne Genre: femme cis Or. sexuelle: homosexuelle Groupe: prisoners Métier: tatoueuse Faceclaim: yana - demonslayer ; ruby rose MENTAL UPGRADES — Poignets rotatifs — Brouilleur haptique INVENTAIRE — Pistolet CHIAPPA 1911 Empire Grade — Un billet de 20 Onyx à moitié déchiré par les passages répétés en machine à laver qu'elle traine dans ses poches — Les clés de sa moto — Une paire de gants mi-saison qu'elle garde hiver comme été Connaissance de D-VICE: oui ☉ Capricorn ☽ Libra ↑ Pisces ↓ Virgo ; witchcraft asf ; fais comme si elle avait un coeur de pierre, mais est une vraie sentimentale dans le fond ; a déjà touché au moins une fois à tout ce qui tourne sur Lumopolis ; elle ne mange jamais à sa faim, même depuis que les finances se portent un peu mieux ; se laisse aller seulement avec lalie, avec qui elle partage le plus depuis tant d'années ; ne régit sa vie qu'à travers sa moto qu'elle a retapée elle-même et avec laquelle elle sillonne la ville depuis quelques mois ; s'est faite tatouée très tôt dans sa jeunesse, mais n'a jamais changé d'appartement ; tant qu'elles sont toutes les deux, l'endroit est bien assez cozy ; a appris à se défendre avec une arme à feu (et quelques notions à l'arme blanche) depuis qu'elle est devenue prisoners : elle voulait pouvoir se défendre en cas de besoin ; un mètre soixante-cinq pour cinquante-et-un kilogrammes IRL Pseudo: FckSleeping Disponibilité: on est lààà hein Triggers Warnings: /// RP [+18] (violence, sexe, sang...) ?: no problem HISTOIRE everything is amazing À la vie, à la mort. La vie de la petite Madlyn Venus Palmer n’a pas été de tout repos, tout comme sa naissance. Née prématurément, prise d’une immaturité cardiorespiratoire, le corps de l’enfant n’est pas apte à boucher l’artère pulmonaire. Des reflux de sang se sont dirigés pour noyer les poumons de la jeune fille. Bien que tout jusqu’ici laissait croire que la petite allait périr et dans toute l’assistance, une seule personne était persuadée qu’elle s’en sortirait : son père. Sa mère au contraire avait très vite fait son deuil, elle qui n’était même pas bien certaine de vouloir cet enfant. Forcée à cause de l’absence de symptômes jusqu’à ce qu’il soit trop tard.and nobody is happy. 2019 — 2028. Heureusement, elle a fini par se remettre, non sans l’aide des médecins. Malheureusement les factures d’un tel accouchement et la prise en charge d’une opération sur un nourrisson ont un prix. Les parents de la petite Madlyn, rassuré pour l’un, frustrée de l’autre, n’avaient en aucun cas les moyens de payer tout cela de leurs poches et n’ont eu d’autres choix que de faire appel à un prêteur sur gages. Malheureusement ils avaient fini par se faire avoir pendant de nombreuses années et la dette ne faisait qu’augmenter avec des indemnités croissantes au possible. Personne n’était au bout de ses peines. De son côté la petite Madlyn, déjà très réservée à cause de la relation qu’elle entretenait avec sa mère, il n’y avait qu’avec son paternel qu’elle était un peu elle-même. Très vite il commença à lui enseigner ses passions, à l’aider pour les devoirs, cherchant même à comprendre sa fille. La mère, quant à elle, évitait au possible le contact avec celle qu’elle avait mise au monde, n’ayant jamais accepté son rôle de mère. L’école fut une partie de plaisir jusqu’à l’âge de neuf ans, Madlyn repart à l’hôpital, on lui apprend que ses poumons ne grandissent pas à la même vitesse qu’elle, c’est douloureux, mais pas autant que ce qu’ils ont pu lui dire. Elle devient alors la risée de son école, tout le monde la traite de latente et alors commence une longue chute dont elle ne se remettra pas. Voir tout le monde la dévisager a fini par lui donner le déclic qu’il lui manquait, elle est devenue moins aimable, moins conciliante. nobody cares, À la vie, à la mort. Les commentaires atroces ont continué, s’ajoutant à cela les nombreuses périodes où le manque d’argent de ses parents se faisait sentir. Même avec deux salaires, rien ne compensait les dettes emmagasinées et sans prendre en compte l’avis du paternel, Madlyn fut forcée de se mettre à travailler pour aider. À quatorze ans, l’adolescente en devenir à du mal à rentrer dans la vie active, mais sa facilité d’adaptation ont tôt fait d’en faire une bonne employée.work harder. 2035. Elle n’a pas eu de mal à trouver autre chose lorsqu’on devait se séparer d’elle, même si elle a toujours été dans les petits papiers de ses employeurs. Avec le temps que lui prenait son travail, ses études en ont pris un coup, son art aussi. Sa vie n’était régnée que par ses emplois, heureusement son père a toujours participé à ses devoirs, même si le niveau finira tôt ou tard de le dépasser ; n’ayant jamais accepté la décision de sa femme, il se sentait responsable de ce qui lui arrivait, sans réussir à trouver un compromis. Elle a frôlé à plusieurs reprises l’exclusion à cause de ses notes irrégulières et des bagarres récurrentes qui survenaient à cause du harcèlement qui a continué à se propager. where is my À la vie, à la mort. La vie est faite d’embuches, mais celle à laquelle a fait face Madlyn à ses dix-sept ans n’a pas été sans conséquence. Éjectée de son travail après une descente des autorités, elle n’a pas eu d’autres choix que de faire face à ses parents. Le paternel tente d’apaiser la situation, mais les flammes ont déjà envahi le navire, rien ne pourra l’empêcher de brûler. La mère éructe des injures, salit le travail de sa fille qui a tenté de faire au mieux, malgré la haine ambiante. La décision finit par être prise, Madlyn est une bouche à nourrir de trop dont ils ne peuvent s’occuper. Alors la jeune fille a à peine le temps de faire ses bagages, les deux parents se disputent, mais rien ne pourra faire faire machine arrière à l’adolescente, excédée, qui ne supporte plus d’être le fruit de la discorde. Avant de partir, une dernière action de rébellion, Madlyn se rase presque entièrement le crâne, ne laissant que quelques centimètres de cheveux.happy ending? 2037 — 2047. Un simple sac à dos qu’elle a pris avec elle, emportant le peu de choses qui la ramenait à sa vie d’avant : quelques vêtements en vrac, une demi-douzaine de barres chocolatées et le médiator préféré de son paternel. Avec ça, elle ne survivrait pas longtemps, mais la colère avait remplacé la raison et ce ne fut que quelques heures plus tard, dans les rues de Lumopolis, frigorifiée qu’elle a fini par rencontrer celle avec qui elle partagerait toute sa vie. Lalie. Une jeune fille, pas beaucoup plus jeune que Madlyn, à qui la vie n’avait pas souri. À ce moment-là, la brune n’avait pas prévu de s’en sortir, mais voir sa cadette dans une situation similaire l’a fait se sentir responsable d’elle. A ses yeux, elle ne méritait peut-être pas de s’en sortir, mais sa benjamine oui, elle n’en doutait pas. Ce soir-là, elles se sont promis de ne jamais se lâcher, de toujours être là l’une pour l’autre. Un contrat qui ne devrait jamais être brisé. À la vie, à la mort. Les denrées sont rares, l’argent lui aussi vient tôt à manquer et même les espaces qui pouvaient leur proposer un toit ont fini par leur filer entre les doigts. Mado n’a eu que d’autre choix que de prendre le premier truc venu pour subvenir à leurs besoins. La brune se privait de nourriture, simulant ne pas avoir faim pour que sa comparse puisse manger à sa faim. C’était la manière de Mado de la remercier silencieusement de toujours rester avec elle. Très peu subtile, la supercherie n’aura pas fonctionné longtemps, la blondinette n’est pas dupe et a très vite joué le jeu de sa comparse. Toutes deux se sacrifiant un peu pour la survie de l’autre. Les premiers mois furent compliqués, même si avec l’un de ses jobs, Mado a fini par amasser juste assez pour payer un véritable toit sous leurs têtes. Il fallait toujours se serrer la ceinture et l’appartement était loin d’être un rêve, mais tant qu’elles étaient toutes les deux, ça leur suffisait. C’était leur petit coin de paradis, malgré son allure de cauchemar éveillé. À sa majorité, Mado ne sait toujours pas comment rendre cette situation plus vivable. Elle se sent bien et Lalie jure la même chose, mais elle veut lui apporter plus, toujours plus. La brune l’aime sincèrement, probablement autant qu’elle aurait qu’on l’aime elle et aurait voulu pouvoir lui donner tout ce qu’elle désirait. Elle s’est acharnée de son côté, finissant par venir remplir, non sans mal, les rangs d’un gang bien plus dangereux qu’elle ne l’aurait imaginé. Un peu plus d’an plus tard, après avoir appris à se défendre et à user d’une arme à feu, elle a demandé à se charger du nettoyage des dégâts. Malgré sa volonté de faire plaisir à sa camarade, elle ne voulait pas risquer de briser sa promesse et a fait en sorte d’éviter au possible le danger. Elle se moquait pas mal de la tâche, la seule chose qui l’importait, c’était de pouvoir rentrer à son logement le soir et s’endormir après avoir embrassé sur le front celle qui la maintenait en vie, à sa manière. Elle n’a jamais manqué à sa promesse et a même pu réaliser une de celle qu’elle s’était faite à elle-même. La brune a toujours aimé l’art et après son départ du foyer familial, n’avait plus que sa colocataire à qui montrer ce à quoi elle œuvrait. Après plusieurs années de service et une formation en poche, son propre salon de tatouage a enfin pu ouvrir ses portes. L’accomplissement était immense pour elle, mais bientôt une nouvelle ombre au tableau vint s’ajouter. Après son départ du gang, plus rien ne la rapproche du danger, jusqu’à ce que ce jeu d’ordure vienne rajouter sa marque. Lalie se plaît à devenir Players, mais les missions s’enchaînent, plus dangereuses que les autres, Mado a peur ; peur que les termes de leur contrat soit remis en jeu, peur que la blonde ne puisse plus un jour rentrer chez elles parce que les gains étaient trop importants. Alors elle finit par aller voir ceux qu’elle pense les plus aptes à régler la situation, on lui rit au nez et la sanction tombe immédiatement. Bien qu’elle ne soit pas participante du jeu, les règles se sont appliquées sur elle et le cauchemar a repris : Lalie et elle sont maintenant prisonnières du jeu. Mado ne s’y attendait pas, mais avec les années, l’amour qu’elle éprouvait pour sa camarade avait grandi, au point où elle ne savait plus où donner de la tête. Elle se doutait que cela ne venait pas de nulle part. Elle avait compris depuis longtemps déjà son désintérêt pour les garçons et avait pu faire ses expériences, mais jamais elle n’aurait pu croire que son affection se transformerait ainsi. Elle l’aime de tout son être, mais ne se sent pas le courage de risquer de détruire ce qu’elles ont construit ensemble. À la vie, à la mort, ça serait elle. ps: i never told your, but i was falling in love... 2048. |
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